Derniers jours sur notre île colombienne

Avant de retrouver la grisaille parisienne, un petit tour une île des Caraïbes. 

Initialement, nous avions opté pour l'île de Murcura de l'archipel San Bernardo car peu touristique. 

Par manque de temps (3h de bus puis du bateau pour atteindre l'île), nous orienté notre choix vers Isla Grande à 2h de bateau de Carthagene. 

Embarquement à 9h dans de longues barques poussées par deux moteurs puissants. 

Les tours nouvelles de Carthagene. 

Villages de pêcheurs sur l'île de Tierra Bomba. 

Un détour à la Playa Blanca : belle plage de sable blanc mais tourisme de masse dans tous ses travers. 

Plage bruyante, odeur de gazole du fait des jetskis omniprésents, bars à fritures et juste derrière, les poubelles jonchées sur le sol. 

Isla Grande est en vue. 

Iguane dans l'arbre!

Voici notre palace ! L'eco hotel Palmeras. 

Recueil de l'eau de pluie dans ces cuves. 

Douche et toilettes : il faut puiser l'eau dans les poubelles. 

Electricité par panneaux solaire et éclairage LED = empreinte environnementale réduite. 

Après midi baignade dans une eau turquoise à 30 degrés. 

L'île est dans un parc naturel surveillée par des Rangers...

Mais l'arrière de l'île est une poubelle !

Coucher de soleil avec dégustation de mangue en compagnie d'un chien du village. 

Nous n'avions pas anticipé le dîner : repas diététique à base de flocons d'avoine à défaut d'écrevisses...

Le lendemain matin, snorkelling au récif corallien au large de la plage  

Poisson clown. 

Poisson barracuda. 

https://youtu.be/Z5kORAUh2cM

https://youtu.be/k4ckGn0SyBQ

Bancs de poissons balancés par le courant. 

Nous allons côté ouest de l'île vers la propriété de Pablo Escobar. 

Dans l'eau, l'épave d'un des avions d'Escobar. 

Le domaine d'Escobar, à moitié démoli et envahi par la végétation et les animaux sauvages, comprend un manoir, des appartements, plus de 300 chambres, de nombreuses cours, une grande piscine, une piste d'atterrissage d'hélicoptère, des vitres blindées, des sols carrelés...

Nous quittons Isla Grande vers vendredi midi.

Du fait de la houle et de la vitesse excessive du bateau, j'ai eu une forte douleur aux lombaires (cette traversée a été un calvaire : l'avant du bateau où j'étais frappait violemment l'eau). 

Vol pour Bogota samedi matin. 

Puis direction Madrid puis Paris dimanche : un voyage qui nous a semblé moins long car nous avons volé toute la nuit.